L'alimentation des condors

Viens poster ici les plus belles de tes photos, mais aussi des clichés ou des vidéos du web qui valent le détour.
maintenant tu peux meme jouer XD
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Klette.Mariette
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L'alimentation des condors

#1 Message non lu par Klette.Mariette »

Nourrir ses condors en 42 photos.
condors.pdf
! C'est pas beau !


Edit :
J'oubliais :
[youtube]emF2MqIHrEo[/youtube]



P.S. Ce document était accompagné du message "Comment les trafiquants de drogues colombiens se débarrassent d'un corps", mais bon...
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
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Klette.Mariette
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Re: L'alimentation des condors

#2 Message non lu par Klette.Mariette »

Moi, personnellement, je n'ai pas tenu jusqu'à la fin. (De la chanson, évidemment)
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marou
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Re: L'alimentation des condors

#3 Message non lu par marou »

c'est une connerie ou bien ..??? est ce que ça se passe en Mongolie???je sais que là bas les corps sont , ou étaient en tout cas, laissés justement à dispo des charognards ... :roll:
on peut emprisonner un révolutionnaire mais pas une révolution

Marteau Rouge
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Re: L'alimentation des condors

#4 Message non lu par Marteau Rouge »

Je trouve que c'est une très belle tradition. Les condors sont sensé amené l'âme du défunt au ciel. Et les voleurs et les criminelles sont enterré. Je trouve ce raisonnement très poétique. Effectivement, si les images sont dur, je les trouve très belle.


A oui, bonne appétit à tous !!!

Je savais qu'il y avit eu un géo dessus. Il date, mon père l'a encore mais j'ai réussi à trouvé le texte qui avait dedans.


Ce texte est issu du magazine Géo n° 54 d'août 1983.

Rituel mortuaire tibétain, les funérailles célestes qui sont présentés ici n'ont pas été "orchestrées" pour satisfaire la curiosité singulière de quelques voyageurs ou journalistes en mal de sensation.Elles se déroulent chaque jour à Lhassa, aussi banalement que se déroulent, chez nous, enterrements ou incinération.Issu de la nuit des temps (il existait, semble-t-il chez nos ancêtre les Gaulois) ce rituel, unique au monde, est pourtant menacé de disparition. Malgré le caractère parfois choquant de certaines photos, de faire l'écho de cette cérémonie qui appartient incontestablement au patrimoine culturel de l'homme. Et qui illustre, mieux que de long discours, la vision du monde qui prévaut l'âme tibètaine.

Dans la capitale Lhassa, en plein coeur du Tibet, où il vit, Tchampa, "le compatissant", se livre chaque jour au même travaille. Vers quatre heure du matin, alors que le soleil n'est pas encore levés, il prend àl'est la route qui conduit au monastère de Sera. Après une heure et demi de marche, il atteint une colline connue ici sous le nom de Serashar, ce qui signifie "au levant de Sera". Et là, au pied de la Hauteur , Tchampa perpétue une tradition unique au monde: les funérailles célestes. On peut lire en France , dans de vieux grimoires, des récits de voyageurs qui avaient traversés le Tibet au début du siècle et rapportaient l'histoire de ces rites funéraires difficiles à comprendre pour un occidental. Une foi à Lhassa, notre première tâche est de trouver un de ces officiants que l'on appelle ici "ragyapas", les "faiseurs de cadavres". En fait cette appellaion est impropre. Leur véritable nom est "topdén", sages, et il suppose une connaissance profonde du processus de la mort. Car pour le boudhiste, le corp humain est composé des quatre éléments de la matière: la terre, l'eau, le feu et le vent. Eléments qui soutiennent le corp comme des piliers. Sur le point de mourir, l'homme ne peut plus bouger car le pouvoir de l'élément terre est aboli. C'est alors que l'élément eau se manifeste et le moribont à l'impression de flotter dans une masse liquide. Puis progressivement, le corps s'assèche, l'eau laisse place à l'élément feu et le mourant sent qu'une fumée légère l'enveloppe. Petit à petit la chaleur du corps se dissipe. Si elle se dirige vers le bas, c'est signe d'une renaissance malheureuse sous forme d'animal ou de démon, si elle se dirige vers le haut la personne revivra comme un dieu, un demi-dieu ou un homme.A ce stade, l'esprit n'est plus supporté que par l'élément vent et l'agonisant voi des lueurs danser autour de lui. La respiration s'arrête aprés la disparition du vent. C'est la mort du corps physique et grossier mais l'esprit, lui, continue de vivre dans ce que les tibétains nomment "l'air subtil". La conscience du défunt s'estompe et se dissout en une douce ataraxie (quiétude) qui dure, croit-on, de trois jours et demi à quatre jours. Un lama officiant entre alors en action. Il prépare le mort au bardo, l'état transitoire de quarante-neuf jours qui précède sa prchaine renaissance. Il lui récite à l'oreille les instruction du livre des morts tibétains afin qu'il renaisse dans des conditions favorables. Puis on appelle un "lama extracteur du princpe conscient" pour faciliter la séparation du corps et de l'esprit qui doit s'échapper par "l'ouverture de brahma" située au sommet de la tête. Il prononce des formuoles pour provoquer cette ouverture et, pour aider le "passage", va même jusqu'à enlever des cheveux à cet emplacement. Les modes funéraires au Tibet sont liés à cette représentation du corps et de la mort. Ils symbolisent le retour du corps dans l'un de ses quatre éléments: l'inhumation est le retour à la terre, l'immersion à l'élément eau, la crémation à l'élément feu. Et les funérailles célestes à l'élément vent. Théoriquement un lama astrologue choisit le mode funéraire. Dans la pratique, l'adoption de tel ou tel mode dépend du statut social du mort ou des circonstances de son décès. Elle varie aussi selon les regions car au Tibet central le manque de bois limites les familles qui peuvent assumer les dépenses d'un bûcher. A l'est du pays, très boisé, on incinère tous les mort. A Lhassa, l'inhumation est réservée aux personnes morte d'une maladie contagieuse et on immerge dans les torrents les enfants mort en bas âge (moins d'un an). Reste donc pour la majorité des défunts , le rituel des funérailles célestes, dont les maitre d'oeuvre sont Tchampa et ses paires. On peut les rencontrer, non sans difficultés, au célèbre temple de Ramoché, qui communique, dit-on, aux enfers et au palais de cristal des Nagas, dragons aquatiqyes des profondeurs de la Terre...

[Image]

Tchampa vit dans une pièce voisine de la chapelle. Les premiers contacts sont difficiles, il se méfie de l'intérêt que les "étrangers" portent à son métier. Il dit que le rituel qu'il accomplit a souvent été utilisé en Chine à des fins politiques. La propagande chinoise s'en sert pour stigmatiser la pseudo-sauvagerie des Tibétains et pourconforter les Chinois dans leur mission civilisatrice du Tibet. Une fois la confiance établit, il parle sans contraintes: "Les funérailles célestes vont s'éteindres et mon métier aussi. Il ne reste à Lhassa qu'une dizaine de dépeceurs. On nous considère comme une caste vile. Mon fils ne reprendra pas le flambeau. D'ici une une vingtaine d'années (sur les coups de l'an 2000), la cérémonie aura disparue." Il explique ensuite son déroulement. Le troisième ou quatrième jour après le décès, la famille du défunt vient quérir Tchampa pour apprêter le mort qu'il dénude et dont il lie les membres en position assise, à la manière des momies. Puis il enveloppe le cadavre dans un tissu de laine blanche, le phrug. Le lendemain, dès l'aube, selon la tradition, l'héritier de la famille porte le mort jusqu'au seuil de la maison. Là Tchampa prend en charge le corp qu'il mène souvent sur son dos, quelquefois en charette, sue l'aire de découpage (il en existe deux près de Lhassa). Enfin, il dépose le cadavre sur l'autel. L'autel est une énorme dalle rocheuse surélevée artificiellement où repose trois corps emballé de blanc. Sur les crères environnantes, des vautours, déployants leurs ailes immenses, attendent déjà, vigilants, le geste familier de leurs "complices" humains. Prés de l'autel, les dépeceurs sont réunis autour d'un feu de branches de pin et de cyprés qui attirent, disent-il, les oiseaux sacrés. Ce spectacle donne l'impression d'un sacrifice imminent et on ne peut s' empécher de songer au rituel du tcheu (couper), introduit au Tibet par le saint indien Phadampa au début du XIIème siècle et qui coïncide avec l'appariton dans ce pays de la coutume du découpage des morts. Certains ne peuvent se résigner à ne voir dans ces funérailles célestes qu'un moyen pour se débarrasser des cadavres dans une régions où le bois est rare. Tout, dans cette cérémonie, se prête à des interprétations ésotériques, même si les explication données par les dépeceurs demeurent simplistes. Mais après tout, l'origine de la coutume se perd dans la nuit des temps et son symbolisme peut ne plus être connu par ceux-là mêmes qui la perpétuent. Les officiantsprennent un repas de thé au beurre et de la tsampa, farine d'orge grillée, qui précède la cérémonie. Pendantles préparatifs, l'un des dépeceurs allume de petits feu de genévriers, puis verse de la tsampa sur les cendres pour guider l'âme du corp vers le ciel. Les autres affûtent soigneusement leurs outils de travail: couteaux à découper la chair (sha-gri), à la forme finement courbée, et couteaux à découper les os (rus-gri), à lame droites et épaisses. Enfin les dépeceurs se rendent à l'autel et dénudent les corps. Tout va ensuite très vite. Le cadavre est couché sur le ventre et Tchampa, d'un seul coup, toute la longueur du dos au niveau de la colonne vertébrale.

[Image]

Il d'abord utilise son couteau à découper la chair et dissèque entierement le corps. Les morceaux de chair s'empilent autour de lui. Tchampa saisit son couteau à découper les os et tranche les articulations. Deux participants broient à fur et à mesure les os et la chaire en les martelant avec de grosses pierres. Puis mélange le tout à de la tsampa. Du cadavre maintenant il ne reste plus que la tête, dernière partie du corp à être travaillée. Tchampa arrache les cheveux et les oreilles. C'est le moment fort de la cérémonie. Tchampa place le crâne enveloppé de tissu dans une cavité spécialement aménagée dans le roc. Il s'empare d'une grosse pierre qu'il élève à bout de bras puis se fige. Il se receuille et ânonne la formule sacrée: "Om Mani Padma Hum" pendant plusieurs minutes. Puis il précipite violemment la pierre sur le crâne. Protégés par le tissu, les éclats de boite cranienne ne se dispersent pas. Si quelques débris s'échappent, on s'empresse de les rassembler, car c'est mauvais signe. L'exament des fragments du crâne commence, car il s'agit de savoir si le "principe conscient" est bien sorti. Tchampa recherche un petit trou (l'ouverture de Brahma) dans les os. En fait il est assez rare d'en trouver. Pendant se temps les broyeurs ont continué leur méthodique besogne. Osements et chairs sont enfin amalgamés en boulettes afin de faciliter le travaille des vautours car le cadavre doit disparaitre totalement si l'on veut que l'âme soit tout à fait libérée. Dernier stade: por que les rapaces ne les égaillent pas, les boulettes de chair sont attachées à de lourdes pierres au centre de l'autel; puis tout le monde quitte le rocher. Tchampa claque des doigts. A ce signal, c'est la cohue. Les vautours qui s'étaient rapprochés pendant la cérémonie s'abattent sur les masses informes. Les festin est rapidement consommé par ces oiseaux sacrés que les Tibétains respectent pour le rôle qu'ils tiennent lors du rituel. Les dépeceurs remballent leurs outils, puis comme il possède quelques connaissances anatomiques, ils discutent des causes de la mort qu'ils ont cru déceler dans l'observation des cadavres. Les funérailles célestes sont finies. Le corp est retournéau vent. Dans la vision bouddhique, en effet, l'être humain ne connait qu'un bref passage sur cette terre et, à la mort, l'enveloppe charnelle n'est qu'un vêtement dérisoire que l'on abandonne pour en vêtir un autre dans une vie future.
La résistance, ne sait se passer de la violence...

Salut à tous les apatrides, salut à tout les hommes libres !

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Re: L'alimentation des condors

#5 Message non lu par sum »

Merci Klette et Marteau pour le texte :zen:

Oui ce sont des images difficiles, mais est-ce vraiment plus hard qu'une cérémonie macabre chez nous ?? je ne pense pas...
Chez nous ya pas de sang ni de chaires mais paye ton moral à zéro, c'est tout dans la déprim chez nous en cas de deuil, là la famille/proche qui fait l'offrande semble etre en accord total avec elle meme et la nature :respect2:

Bon le jour ou je cane vous aurez le droit de m'offrir aux pigeons :ugly3: :mdr:

:jesors:
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free
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Re: L'alimentation des condors

#6 Message non lu par free »

merci :D

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Re: L'alimentation des condors

#7 Message non lu par Petitgris »

Diogène aussi voulait qu'on jette son corps aux chiens. Y a pas plus roots.

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Re: L'alimentation des condors

#8 Message non lu par fabotanik »

Moi j'aurais bien voulu aussi, mais franchement vu notre mode de vie, déjà qu'on empoisonne les lombrics qu'on n'a pas encore tués, si je décide de donner mon cadavre à un chien, ce sera juste par compassion si je sais qu'il n'a mangé que des frolic dans sa vie. Et Dieu sait ce que je pense de la compassion :mrgreen:
"Or sous tous les cieux sans vergogne, c'est un usage bien établi, dès qu'il s'agit de rosser les cognes, tout le monde se réconcilie."

"Il n'y a que deux choses infinies : l'univers et la bêtise humaine. Mais pour ce qui est de l'univers, je n'ai pas la certitude absolue." Albert Einstein

"Si les policiers n'étaient pas bêtes, ils ne seraient pas policiers." Charles de Gaulle

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Re: L'alimentation des condors

#9 Message non lu par Klette.Mariette »

Marteau Rouge a écrit :Je trouve que c'est une très belle tradition.[...]

Merci Marteau rouge pour ce texte. En effet : le message attenant au courriel qui m'a été envoyé interprétait ces images comme un règlement de compte entre trafiquants de drogue. Mais bon : on y colle ce qu'on veut, j'y ai moi-même vu un mode d'alimentation des vautours.

Cette manière d'offrir le corps aux animaux, principalement aux charognards ailés, je l'avais aussi déjà lue : c'est dans Flash de Charles Duchaussois. Et si mes souvenirs sont précis (j'ai lu ce livre, je n'avais encore jamais vu de vrai chanvre, ni en barrettes, ni en fleurs, Marteau Rouge naissait) il s'agit de tours réservées au dépôt des cadavres et au-dessus desquelles les charognards venaient pique-niquer. Le 'héros' du livre décide d'y grimper et d'en réaliser des photos par la suite monnayables.

Une histoire déprimante qui se finit mal, tout comme la vie de l'auteur.
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Re: L'alimentation des condors

#10 Message non lu par Petitgris »

Sacré bouquin (transcription d'un enregistrement audio si ma mémoire est bonne). Le mec de Thé troc dans le XIème le connaissait Duchaussois (et certainement la marque des suppos magiques) ...
Je ne me rappelais pas cette histoire de vautours...

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Re: L'alimentation des condors

#11 Message non lu par metallicseed »

si ca m'arrive de votre vivant vous pouvez demander qu'on me balance depuis un avion sur le toit de l’Élysée? merci
"la seule chose qui ne changera jamais c'est que tout change tout le temps"

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Re: L'alimentation des condors

#12 Message non lu par Klette.Mariette »

Les condors ont faim.
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Re: L'alimentation des condors

#13 Message non lu par metallicseed »

oui mais qui dort, dine :ugly3:
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Re: L'alimentation des condors

#14 Message non lu par Klette.Mariette »

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Re: L'alimentation des condors

#15 Message non lu par Ashaman »

Ah! Flash, le bouquin qui se refilait chez les geudros des années 80/90
ben oui on fumais du paki, du kétama, du népalais, bordel...ça fracassais sec.... :mrgreen:
le rêve du grand voyage.... :taper:

j'ai bossé avec pas mal de scientifiques sur une partie des oiseaux à protéger, et les vautours en font partie,
ce rituel existe aussi en amérique du sud mais avec des condors (bien qu'il y est des vautours et autres charognards)
et fût utilisé en inde aussi .....
il me semble que la tribu Aïda, offrait aussi certains cadavres aux grands corbeaux .....

ce ne sont que des images, rien de choquant, un corp qui brule n'est guère plus photogénique,
juste une réalité,
quand aux trafiquants de geudro m'étonnerais qu'ils se prennent autant le choux
à par les cochons...sauvages.... :mrgreen:

rituels rituels,
les nôtres sont pas mieux....
Cherche le pied de l'arc-en-ciel, cherche ta route au milieu des chansons et tout ce qui t'entoure deviendra beauté.
Il existe un chemin qui conduit au-delà du brouillard, au dessus de l'arc-en-ciel.
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Re: L'alimentation des condors

#16 Message non lu par metallicseed »

con-dors, faim... :jesors2:
"la seule chose qui ne changera jamais c'est que tout change tout le temps"

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Re: L'alimentation des condors

#17 Message non lu par Ashaman »

condors on rêve.....??!!
:uglypeace: :jesors:
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Re: L'alimentation des condors

#18 Message non lu par komak »

yen a des vautours chez moi impressionnant c't'oiseau vaut mieu etre mort avant de prendre un coup de bec :lapo:
celui qui est parti de zéro pour arriver à rien, n'a de merci à dire à personne.
passez pour un idiot aux yeux d'un imbécile et une volupté de gourmet.

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Re: L'alimentation des condors

#19 Message non lu par Ashaman »

Alors tu doit avoir :
du vautour moine
du vautour fauve
et du percnoptère
donc tu n'est pas loin de.....rien... :mrgreen: :mrgreen:
t'es à coté de certaines réserves naturelles ou j'ai fait des comptages .....très zolis coins.... :topcool: :mrgreen:
le kom, on va finir par trouvé ta turne....... :mrgreen: :taper:
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Re: L'alimentation des condors

#20 Message non lu par komak »

:sm38:

ya meme un couple d'aigle dans la vallée voisine. sinon oui ya tous ces zozios par ici c'est exellent en été ya ka se coucher dans l'herbe et mater.
celui qui est parti de zéro pour arriver à rien, n'a de merci à dire à personne.
passez pour un idiot aux yeux d'un imbécile et une volupté de gourmet.

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